NON NON L’U.S.M.M N’EST PAS MORTE !!!!

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Le président de l »U.S.M.M Hadjout coulé des larmes après la fin du match contre
l’ A.B.Mérouana après que son équipe a assuré son maintien en Ligue 2  Mobilis.
Zidani dira d’emblée :« Hamdoulilah, on à sauvé le club et cela grâce à tout le monde que ce soit
les dirigeants, le staff technique ou les joueurs sans oublier notre merveilleux public qui a joué
un grand rôle lors de cette rencontre  capitale. En ce qui concerne le staff technique je le répète encore une fois, il a réussi sa mission dira le boss.
Quand Sofiane Boudjella était arrivé à la rescousse de l’U.S.M.M, le Coach débarque après une 
série de mauvais résultats pour remplacer Boudjâârane avait assuré que même avec toutes les difficultés qui gravite autour de son équipe, il assurera le maintien et c’est ce qui fut. 
Puisqu’après une phase retour plein de suspens et de découragement il n’a en aucun moment
baissé les bras et continua sans réserve à motiver ses protégés pour assurer le maintien. 
Ce n’était  pas facile, mais après chaque rencontre,  Sofiane disait : « Il faudra faire mieux que
le dernier match pour gagner la prochaine journée. » Un discours qui a bien marché  » et assure l’essentiel qui lui a permis à l’ultime journée de fin de la saison d’assurer une fois pour toute son maintien. Tout le monde a rendu hommage à ce staff technique formé au club qui a réussi l’exploit, puisque personne ne croyait que l’ Union Sportive Mechââl Mitidja de Hadjout
allait assuré son maintien,  Le boss était soulagé au coup de sifflet final de même que le staff médical tout comme les fans de l’USMM qui ont fait ce long et périlleux déplacement pour
soutenir les joueurs malgré les innombrables problèmes n’ont pas abdiqué et contre vents et
marées ont tenu leur promesses.
Sofiane Boudjella : «C’est exceptionnel !»
«C’est exceptionnel de pouvoir vivre ça. On sentait qu’il  y avait toute une ville derrière nous. Arriver à assurer le maintien devant beaucoup d’adversité est quelque chose de merveilleux. Cela fait plusieurs mois que le club et la ville de Hadjout attendaient ça. J’ai vécu pareilles situations et celle-ci restera toujours dans mon cœur. C’est dur bien évidemment car on ne retient que le classement final. Dès le coup d’envoi du match de vendredi dernier, je sentais qu’il y avait un bon coup  
à jouer pour l’USMMH. Il s’agit maintenant de retenir les leçons car le club n’aura pas toujours la chance de se sauver
Il est bon de noter un avis d’un ancien président de l’association du seul club phare qui reste
dans la wilaya de Tipasa, je cite ; « l’essentiel le maintien oui mais il doit nous servir de leçon »  
sur cette note l’erreur vécu dans le début de la précédente saison ne doit plus se reproduire,
d’or et déjà les responsables doivent évaluer les bilans et préparer sereinement la prochaine saison  !1660533_614381341969977_651253368_n.  

Hadjout: Le sport en détresse

Hadjout: Le sport en détresse

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SOS ! La sonnette d’alarme est tirée. Y a-t-il quelqu’un avec des solutions aux problèmes pour sauver le sport en général et les trois disciplines reines à l’ex Marengo, en l’occurrence le football, le handball et le basket-ball ? Tous les amoureux de la balle ronde à Hadjout se souviennent de ces majestueux clubs qui ont fait la fierté de la ville et donné du bonheur à des milliers de Hadjoutis tous âges confondus, surtout en Football et en basket.

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En football, l’équipe chère aux Hadjoutis patauge depuis plusieurs saisons dans les profondeurs du classement général sans que personne se soucie de sa situation.Tous les responsables dirigeants qui se sont succédé ont une part de responsabilité avec leur mauvaise gestion ; en effet, ces gens n’avaient aucune relation avec le football et sont à l’origine de ce désastre que vit le club depuis bien longtemps. Les supporters Hadjoutis, du moins ce qu’il en reste, pointent un doigt accusateur vers les hommes de l’ombre qui bloquent l »évolution du club phare de la wilaya, malgré plusieurs interventions des supporters auprès des autorités locales et instances sportives pour trouver une issue favorable.

Et, en dépit des différentes réunions provoquées en extrême urgence, la situation du sport en général et du football en particulier reste toujours stationnaire et elle perdure davantage et le club risque de s’effondrer et disparaître de la scène footballistique nationale.

USMM Hadjout une association sportive, dans un passé récent, était le fleuron et la fierté de la ville se retrouve aujourd’hui réduite à une formation qui joue juste pour sa survie.

Dans un passé récent, Messaoudi, les frères Maroc (Larbi et M’hamed), Bouanem, Doudou, Nafi, Sadouki, Aïdat, Djedaïmi, les frères Arbouche, Boudjella, Guessaf  et la liste est encore longue. Ces joueurs ont mené la balle  à un niveau national très appréciable. Le club était une véritable école, où ont grandi nombre de joueurs Hadjoutis. Désormais, l’USMM section Football vit une crise sans précédent. Aujourd’hui, le club est délaissé. Ses enfants qui l’aiment vraiment sont à son chevet, ce sont des techniciens de formation qui le gèrent avec le peu de moyens qu’ils ont, car les subventions allouées par la wilaya et l’APC sont en deçà des besoins du club, et devant cet état de fait le club joue sa survie.

Il faut avouer que c’est grâce à la bonne volonté de quelques encadreurs que le club arrive difficilement à survivre. Malgré les problèmes financiers, les encadreurs n’ont pas lâché prise, travaillant avec sérieux et dévouement pour le bien des jeunes afin qu’ils puissent pratiquer leur sport favori, confie un des anciens dirigeants du club en question.

Mais cette situation du provisoire qui dure perdure. La balle est aujourd’hui dans le camp de ceux qui veulent sauver le devenir du sport à Hadjout, et ce, pour le bien de la jeunesse et le mouvement sportif local et national. Le SOS est lancé, en attendant que chacun y mette du sien. Ne dit-on pas à juste titre, au demeurant, que l’union fait la force. Alors… à bon entendeur, salut !

 

Situation actuelle de l’ Union Sportive Machââl Madinat Hadjout ( U.S.M.M Hadjout )

Une forte mobilisation de supporters de l’ U.S.M.M Hadjout a eu lieu ce dimanche 11 janvier 2014, bloquant les accès du centre ville et le siège de la daïra de Hadjout.

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Ils étaient nombreux dans cette marche pacifique qui les a conduit du bout de l’avenue du 1er novembre vers le lieu symbole de la ville le monument des martyrs.

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Dans un premier temps les nombreuses personnes présentes ont interpellé le président de l’assemblée populaire et communale en plein cœur de la ville, ce dernier a réaffirmé avoir invité un ancien responsable du club ainsi que l’actuel président, selon lui non démissionnaire  aux fins de leur donné des garanties et si ces derniers souhaiteraient un engagement écrit il le ferait disait le maire, qui ajouta avoir lancé des invitations aux entreprises présentes dans la localité pour concourir à l’aide financière du club.

En effet les joueurs réclament leur salaire, depuis leur dernière rencontre face à l’A.B.Mérouana en guise de mécontentement aucun entrainement n’a eu lieu. La trêve hivernale est donc bienvenue pour remettre éventuellement de l’ordre dans la maison du club phare de la wilaya de Tipasa. Effectivement l’ U.S.M.M Hadjout  actuellement à deux points de la lanterne rouge recevra dès la reprise de la phase retour le club du M.C. Saida  qui ne se présente pas sous les meilleurs auspices, ce dernier n’est qu’à quatre points du leader, jouant donc l’accession.

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L’inquiétude des supporters étant grandissante, en l’absence d’un interlocuteur dûment mandaté tentent de trouver une solution urgente afin de sauver le club qui risque tout bonnement la relégation. C’est ainsi qu’une délégation composée dans le tas fût reçu par le chef de la daïra qui a écouté attentivement les doléances des personnes présentes à cette entrevue.

L’administration de Sawt Hadjout Marengo a suivi avec attention la situation générale de l’ Union Sportive Mechââl Madinet Hadjout, avec tout le respect qui est dû à la famille sportive de la ville, des nombreux fans et supporters des verts et blancs le terme sacré de l’ UNION est bafoué, cette union sportive jadis la fierté de notre ville, aimé et respecté par tout ailleurs ne sait ou ne trouve plus de solutions qui réunira autour d’une assemblée générale ordinaire ou comme c’est le cas aujourd’hui une assemblée générale extraordinaire aux fins de laver le linge « sale » en famille et de dégager les membres actifs de bureaux, des diverses commissions et staffs de formations et de reprendre en main les destinée du club et les nombreux jeunes pour leur suivi et formation etc…..Il est impératif de se poser la question comment se fait la gestion du club alors que les textes et réglementations en vigueurs existent……Si l’ USMM Hadjout est un club professionnel son administration à travers son statut et ses actes a ses droits, devoirs et ses obligations……Si l’ USMM Hadjout est un Club Sportif Amateur son souverain à la base est l’assemblée générale, qui donne mandats aux membres de bureaux de chaque sections, commissions et son conseil d’administration pour gérer au mieux et en bon père de famille les affaires du club….

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Les deniers de l’état sont un droit et contrôlés par les services concernés, les équipements et infrastructures en fonctions besoins sont programmés par l »état pour cela il faudrait des gens honnêtes intègres et  du point de vue sensibilisation pour le fair-play pour cela il faudrait aussi un comité de supporters actif et convaincant…..

Sans cela ni le président de l’A.P.C, ni le chef de Daïra, ni le Wali, ni le représentant de la DJS, ni le ministre de la jeunesse et des sports, ni la ligue et ni la fédération ne viendront géré le club à la place de ses enfants…..Les autorités citées doivent avoir en face des interlocuteurs crédibles et mandaté par une assemblée générale…..Franchement la démarche entreprise n’est pas convaincante….D’ici là espérons que la famille sportive trouvera des solutions pour toutes les sections ou disciplines sportives et à travers celles ci les membres actifs du CSA/USMM Hadjout…..

L’ESPOIR EXISTE QU’AVEC UN SURSAUT D’ORGUEIL ….BONNE CHANCE A L’ U.S.M.M !!!!!         

 

   

Dernier hommage à une Algérienne Que Fanny repose en paix dans cette terre pour laquelle elle avait une passion sans borne

Fanny Colonna inhumée hier à Constantine Dernier hommage à une Algérienne Que Fanny repose en paix dans cette terre pour laquelle elle avait une passion sans borne Dans la nuit du dimanche 16 au lundi 17 novembre est décédée dans son domicile parisien l’anthropologue algérienne Fanny Colonna à l’âge de 80 ans. Originaire de Constantine, Fanny, née Reynaud, a, dès sa prime jeunesse, rejeté le système colonial qui opprimait les autochtones avec qui elle a partagé les aspirations nationalistes. Elle faisait partie de la mouvance des catholiques progressistes, sensibles à la condition politique et sociale de ceux que l’administration coloniale appelait les Français musulmans. Cette mouvance était animée par André Mandouze, Pierre Chaulet, Pierre Colonna, qui deviendra son mari dans les années 1950. Ils militaient dans l’Association de la jeunesse algérienne pour l’action sociale (AJAAS) et écrivaient dans Consciences maghrébines qui était la revue où ils exprimaient leurs positions politiques et idéologiques. Ils étaient en contact permanent avec les nationalistes autochtones, dont Mahfoud Kaddache, historien et dirigeant des Scouts musulmans, et Salah Louanchi, membre de la direction centrale du MTLD, parti d’où sera issu le FLN qui lancera l’insurrection en 1954. Fanny Colonna est représentative d’un courant d’opinion qui était attaché à l’idée d’une nation algérienne souveraine multiethnique, courant malheureusement minoritaire parmi les pieds-noirs. Ils étaient néanmoins plusieurs centaines à avoir épousé la cause du FLN, et beaucoup d’entre eux ont subi la répression, notamment Evelyne Lavalette, célèbre détenue politique. Il faut citer aussi dans ce courant l’abbé Alfred Bérenguer, qui a été durant la guerre le représentant du FLN en Amérique latine, et aussi les abbés Pierre Mamet, Jean Scotto, Jobic Kerlan… Tous ces pieds-noirs, dont les arrières-grands-parents étaient nés en Algérie, se sentaient Algériens et avaient pris position contre la domination coloniale. Ils militaient pour un Etat algérien souverain où autochtones et pieds-noirs seraient des citoyens égaux. Leur attitude politique ne souffrait d’aucune ambiguïté, ce qui les a placés du côté des nationalistes contre la majorité des pieds-noirs acquis à l’Algérie française. Aux yeux de ces derniers, ils étaient des traîtres à la France, à la mère-patrie, alors que c’était des justes qui avaient une autre idée de la France et de son honneur. En 1955, un drame familial, conséquence de la guerre de Libération qui avait commencé un an plus tôt, a bouleversé la vie de Fanny. Son père, administrateur dans la commune de M’sila, a été tué par le FLN. Après un séjour d’un an à Nice avec sa mère pour faire son deuil, elle revient au pays, convaincue plus que jamais que l’Algérie a droit à l’indépendance. A la fin de la guerre, elle opte pour la nationalité algérienne et renonce à la nationalité française, demeurant, avec son mari, à Alger où elle a fini ses études universitaires. Munie d’une licence en anthropologie, elle s’inscrit en thèse à Paris sous la direction de Pierre Bourdieu sur le thème des instituteurs algériens formés à Bouzaréah entre 1883 et 1939. La thèse a été publiée à la Fondation nationale de sciences politiques à Paris et à l’Office des publications universitaires à Alger en 1975. Pendant un temps, elle a été chercheur à Alger à l’Association algérienne pour la recherche et le développement économique et Social (AARDES), à l’origine fondée par Pierre Bourdieu à la fin des années 1950 et au Centre de recherche d’anthropologie, de préhistoire et d’ethnologie (CRAPE), avant d’obtenir un poste de chargée de recherche au CNRS à Paris. Titulaire d’une carte de séjour au même titre que les travailleurs émigrés, elle réside à Paris et à Alger, et s’investit dans la collaboration entre enseignants français et algériens avec le but de renforcer la recherche universitaire en Algérie. Dès la fin des années 1970, ses travaux ont porté sur les changements religieux dans l’Algérie contemporaine, choisissant comme terrain d’investigation d’abord Timimoun et ensuite les Aurès qui l’ont inspirée dans la production de textes qui font autorité dans le domaine de l’anthropologie religieuse de l’Algérie. Ses deux textes phares sont «Saints furieux et saints studieux, ou comment dans l’Aurès la religion vient aux tribus» (Annales, ESC, 1980) et Les Versets de l’invincibilité, ouvrage paru en 1995 aux Presses de Science Po Paris, traduit en arabe en 2005 au Caire par les éditions ‘Alam Ettalath sous le titre Ayat es sumud. Dans cet ouvrage, elle remet en cause le schéma binaire de Ernest Gellner qui postule que l’islam citadin et l’islam rural sont opposés et que le premier a vaincu le second. Elle montre de manière assez fine, à travers l’étude des zaouiates dans les Aurès, que les familles maraboutiques n’étaient pas hostiles à l’islah (le réformisme), et que ces familles envoyaient leurs enfants se former à Constantine dans les écoles de l’Association des oulémas de Abdelhamid Ben Badis, et revenaient au village pour propager la vision religieuse des réformistes citadins. Fanny Colonna était passionnée par son terrain et a écrit beaucoup d’articles et d’ouvrages, dont Timimoun, une civilisation citadine (éditions Mardaga, Bruxelles,1989), Entre insurrection et révolution (éditions Azur, Akbou, 2006), Le meunier, les moines et le bandit (Actes Sud-Sinbad, 2010). Fanny Colonna a donné un long entretien à l’anthropologue J.P. Van Staëvel, paru dans la revue d’Etude des mondes musulmans et de la Méditerranée (juillet 2014, n° 135) dans lequel elle exprimait sa frustration face au désintérêt des chercheurs algériens pour l’anthropologie religieuse, et sa déception que les chercheurs français ne se soient pas encore émancipés du modèle durkheimien des religions. Elle laisse un vide parmi ceux qui l’ont connue et qui l’appréciaient pour son érudition de l’islam rural, et aussi pour sa spontanéité, sa franchise et son sourire désarmant. Elle a souhaité être enterrée dans sa ville natale, à côté de son père, dans le cimetière chrétien de Constantine. Malgré l’amour qu’elle avait pour son père, Fanny avait opté pour la justice, à la différence d’un autre pied-noir célèbre de Constantine. Qu’elle repose en paix dans cette terre pour laquelle elle avait une passion sans borne. Par Lahouari Addi : IEP de Lyon, Laboratoire Triangle
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Mémoires de BENCHARIF Mostéfa premier maire musulman de HADJOUT

BENCHARIF Mostefa né à Miliana le 12 novembre 1913

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Issu d’une famille de fonctionnaires de la magistrature Musulmane, ayant exercé depuis et bien avant la conquête de l’Algérie par la France. Élevé dans les principes Arabo-Islamiques,…Dans le mépris de l’occupant, qui a toujours été considéré comme un « intrus ». Pas de politiciens dans la famille, mais le sentiment nationaliste n’a jamais fait défaut. Sans avoir milité dans aucun parti politique, monsieur Bencharif était connu dans son entourage pour ses sentiments de nationaliste Arabe. Il a exercé les fonctions de justice de 1941 à 1963, pendant  toute sa carrière il n’avait cessé de protéger les siens, et d’assouplir à leur égard bien souvent les rigueurs de la loi. Les regrets et les bons souvenirs qu’il a laissé, partout sur son passage, malgré ses fonctions « ingrates », en sont les meilleurs témoignages de son amour pour ses frères et de son humanisme. En 1942, pendant la guerre France-Allemagne il est mobilisé à Blida en qualité d’aspirant réserviste. Quelques jours après sa mobilisation il est taxé « d’Anti- Français »  par son capitaine Français et le colonel, parce qu’il avait nettement la défense des soldats Musulmans persécutés à tort et des sous officiers Musulmans également qui ne bénéficiaient pas des mêmes avantages que leurs « collègues Français ». Il fût dirigé dans une unité en formation pour le front, surveillé de prêt, et objet de diverses enquêtes d’officiers du 2ème Bureau Français. Envoyé sur le T.O il fut pendant toute la durée de la guerre isolé avec un faible détachement de tirailleurs Algériens dans les forêts et en dernier désarmé à l’époque des événements de Constantine (été 1945)  par des chefs Français. Son attitude courant la période de la révolution (1954 à 1957 a pris conscience de l’importance du mouvement révolutionnaire armé aussitôt est né en lui le sentiment et l’espoir de voir libérer son pays. Voyant tous ses amis arrêtés, pris dans les camps d’internements ou en prison, il était saisi par un complexe d’infériorité en restant inactif, faute d’avoir été intéressé ou contacté par l’organisation clandestine.Vu l’influence qu’il avait auprès de la population, il n’a jamais caché sa sympathie pour cette révolution et l’espoir de sa réussite. Il a donné tant qu’il a pu son soutien moral et matériel aux familles touchées par la répression dont les membres avaient rejoint le maquis. Sollicité par les autorités lors des démissions des élus Algériens, il a refusé de faire partie des délégations spéciales formées à l’époque par des Francais et il a refusé également de faire partie de la commission départementale (conseil général de l’époque), malgré les insistances et les menaces du maire de l’époque. IL A TOUJOURS RESPECTÉ LES CONSIGNES DU F.L.N concernant les grèves, fermetures des magasins etc…a cessé de participer aux cérémonies officielles auxquelles il était invité en tant que fonctionnaire de la ville et ce pour obéir aux consigne du F.L.N. CES DIFFÉRENTES POSITIONS ont entraîné la réaction des colonialistes à savoir 1- il a été désigné en tête d’une liste d’otages (10) qui devaient être exécutés sur place publique en répression de l’assassinat d’un garde champêtre Français en fin 1956 2- a reçu une lettre de la main-rouge (organisation terroriste colonialiste de l’époque) le condamnant à mort. 3- a évité plusieurs embuscades de ses ennemis qui avaient même gagné le concours des chefs militaires dont certains lui montraient une hostilité très marquée. 4- A chacun de ses déplacements il était arrêté par les barrages colonialistes et sa voiture fouillée ainsi que sa serviette porte-documents  de 1958 à 1962A refusé de participer aux comités de Salut Public, malgré l’intervention menaçante et armée de deux activistes notoires, venus le relancer à son domicile le matin du 13 mai 1958.A refusé de se porter candidat à la députation du mois de septembre 1958, malgré les insistances et les démarches de ses ennemis qui le menaçaient d’enlèvement etc… EN MAI 1959 : arrive les élections municipales, avec collège unique et majorité de conseillers Algériens sur les autres…. Il est également harcelé par les colonialistes pour figurer sur leur liste en qualité de 1er adjoint et même de maire. Les mêmes menaces lui sont adressées en cas de refus. C’EST A CE MOMENT, mesurant les dangers dans lesquels il se débattait tout seul depuis 4 années, la résolution de   « PRENDRE LE TAUREAU PAR LES CORNES » le prit, et c’est ainsi qu’avec l’aide de quelques amis se trouvant a peu prêt dans la même situation, il avait décidé de faire une liste pour s’opposer à celle des colons. Mr BENCHARIF a donc pu monter cette liste, non sans peine car les candidats Français manquaient, et il n’a pu les avoir qu’après maintes astuces et pressions… La liste de Mr BENCHARIF s’était donc présentée à ces élections avec une étiquette et un programme très audacieux à l’époque puisqu’elle était à progrès social et anti-colonialiste . Le jour des élections à Marengo a marqué LA PREMIÈRE DÉFAITE DES COLONS ET DES COLONIALISTES en Algérie depuis l’occupation de la France. Toute la population Musulmane , comme un SEUL HOMME, s’était dressé hommes, femmes et enfants pour barrer la route à la liste colonialiste et les résultats ont été écrasants à quelques voix nous avons eu toutes les voix de votants et votantes musulmans. Le soir tassés dans les camions auréolés de rubans en couleurs, les enfants de la ville par centaines parcouraient les rues de la ville, même la principale, aux cris de vive Ben Bella, vive Bencharif….. L’énervement et l’affolement de la population Européenne étaient à leur comble  et n’avait d’égal que l’enthousiasme bruyant des Musulmans qui s’était poursuivi toute la soirée et même la nuit jusqu’au matin du lundi. NOTRE RÔLE DE MAIRE : Notre première action a été d’interdire à l’armée Française d’exposer sur la place publique le corps des chouhadas capturés et assassinés par eux. Méthode courante dans la région et que nous avons supprimé. De monter une cabale, et de désorganiser le service de renseignement de la police locale, formé d’éléments européens, élevés dans le milieu musulman, dont ils connaissaient les plus petits secrets et qui terrorisaient la population. Dans leur temps une cellule à peine formée qu’elle était dévoilée et arrêtée. Toute notre action fut axée sur la réussite de la révolution: Secours et subsides  à toutes les familles nécessiteuses et PARTICULIÈREMENT à celles dont le ou les membres sont au maquis, en prison enfin au service de la révolution ou tué par les forces de l’ordre colonialiste. Assurer l’embauche à tous les frères sortis des camps ou de prisons…Et leur faciliter la reprise du « service auprès de la révolution »….Marengo est devenu un refuge sûr aux djounouds et à l’organisation civile clandestine…. HÉBERGER CHEZ MOI LES DJOUNOUDS DE PASSAGE à MARENGO ainsi que je peux citer certains parmi eux: les frères BENMESSAOUD- SI REDOUANE (tué à Cherchell au cours d’un combat) SI MENOUAR- SI MOHA BAZAR- SI MOHA SEGHIR-….. Il m’est arrivé d’avoir dans ma villa, dans une chambre les officiers de l’ A.L.N et dans une autre les officiers Français et ce en même temps… CONTACT; avec le capitaine SI MOHAMED SAIDI et plusieurs djounouds, que j’allais rencontrer chez des voisins, pour différentes causes, liaison, renseignements… AIDER LA RÉVOLUTION par des versements de cotisations et par contribution assez importantes.  PROTÉGER LA POPULATION CONTRE LES ABUS DE POUVOIR DES FORCES DE L’ORDRE. FAIT LIBÉRER PRESQUE TOUS LES FRÈRES QUI ÉTAIENT DANS LES CAMPS D’INTERNEMENTS OU DÉTENU EN PRISON …. FAVORISER TOUTES LES MANIFESTATIONS PRESCRITES PAR LE F.L.N (MOUVEMENT DE MASSE DE LA POPULATION) SOUS MA PROTECTION et CELLE DE CERTAINS DE MES CONSEILLERS … A l’occasion de mes voyages en France, j’ai servi de liaison avec les frères de la fédération de France Messieurs FARES et autres….Si Omer etc… En tant que Président du conseil général d’Alger je ne devais pas me présenter au Conseil général car avec mes fonctions de maire je pensais que j’avais suffisamment d’occupation et me plaisais  à vivre au milieu de ma population qui me marquait beaucoup de sympathie, et au milieu de laquelle je me sentais à l’aise. Cependant les colons qui n’avaient pas digéré leur défaite au conseil municipal, se sont ligués pour planter entre moi et l’administration, un adversaire « sérieux », afin de paralyser mon action. Leur choix s’était porté à nouveau sur LARADJI député de l’Algérie Française, qui avait donné les preuves de son attachement, donc les colonialistes ayant formé une liste avec LARADJI et le docteur BUERLE président du C.S.P activiste notoire …une inquiétude était née dans notre milieu, mes amis n’ayant trouvé personne pour barrer la route à ces défaitistes, je me suis vu obligé de me sacrifier. La lutte a été dure, malgré les mauvais traitements, les bousculades et la force nous sommes arrivés à remporter la victoire aux élections, car nous avions la confiance du peuple, qui a su déjouer toutes les manœuvres de ses ennemis. MON ACTION ; détruire le groupe LAGAILLARDISTE qui était assez important dans l’assemblée, en formant une majorité avec beaucoup de peine. Paralyser son action néfaste…Depuis 1960 je n’ai cessé de proclamer et de faire adopter par l’assemblée des motions incitant le gouvernement Français à négocier avec le F.L.N, J’étais d’ailleurs le premier élu Algérien Musulman à prendre cette position en publique et dès le début de mon élection… Ci-joint une pétition écrite qui avait été adressée au gouvernement par mes soins.En janvier 1960 les colons aidés par la territoriale savaient tout au moment du puntch d’Alger (Avril 1961) 3 de mes collègues qui avaient signé cette motion furent tués par l’O.A.S Personnellement j’ai été recherché tant à Alger, qu’à Marengo je ne dois mon salut qu’à mes manœuvres de  dissipation. Après ce puntch  j’ai fait prendre de graves décisions par le préfet contre les activistes notamment, j’ai fait suspendre 27 conseillés généraux et 9 maires colonialistes j’ai fait interner à Berrouaghia 6 activistes de Marengo dont une femme…A ce sujet j’ai fait l’objet d’une condamnation à mort par l’ O.A.S qui a été diffusée par tracts dans tout Alger. Une lettre anonyme postée de Blida m’avait fait connaître que les 2 jeunes RIPOLL quincaillers à Blida activiste notoires avait été désigné par le comité de l’OAS pour m’exécuter …Je me suis alors réfugié en France ou les tueurs de l’O.A.S m’ont poursuivi jusqu’à mon Hotel à Vichy…Je ne dois mon salut qu’à mes différents et multiples déplacements. POLITIQUEMENT: mon action ne tendait qu’à un seul but CELUI DE LA RÉUSSITE DE LA LUTTE POUR L’INDÉPENDANCE….Au cours des congrés, réunions, conférences, commissions d’élus en France ou en Algérie. Mes déclarations n’étaient qu’attaques contre les colonisateurs et renvoi de toutes discussions concernant le statut futur de l’Algérie aux négociations avec les politiciens qualifiés, c’est à dire avec les responsables du mouvement libérateur. J’étais de ceux qui ont saboté la fédération des maires de l’Algérie provoquant la dissolution de celle d’Alger, dirigée par les activistes  pros OAS, je crois également avoir contribué à saboter la 3 ème Force que la France voulait créer. Contacté par Mr JOXE  à ce sujet , venu spécialement à Alger j’ai rejeté brutalement toutes ses propositions ne voulant pas être un traître à mes frères  qui se battent pour l’indépendance…Mon attitude vigilante et intégralement acquise à la liberation du pays, m’avait attiré beaucoup d’ennemis. Condamné à mort par l’O.A.S suspecté par les forces de l’ordre poursuivi jusqu’à mon domicilepar les éléments de la légion déserteurs, je n’ai échappé à leurs coups que grâce à la protection de mes amis et de la presque totalité de la population de Marengo qui veillait même à mon insu sur ma sécurité. 2 de mes vices Présidents Français et mon secrétaire Musulman du conseil général, signataires de la motion tendant à inviter le gouvernement à négocier avec le FLN émise le 09 janvier 1961 furent assassinés par l’ O.A.S . Rentré de France après le cessez le feu j’ai collaboré avec les éléments de l’ALN pour l’installation des diverses organisations locales, préparé les élections pour l’autodétermination des Algérien et continué la gestion communale jusqu’à fin juillet époque à laquelle fatigué physiquement, surmené moralement j’avais sollicité ma relève des fonctions de Maire à Mr le S/Préfet de Blida…Requête suivie d’effet 2 ou 3 jours après. CE QUI PRÉCÈDE REPRÉSENTE UNE PARTIE DE MES ACTIVITÉS EN FAVEUR DE LA RÉVOLUTION DISPENSANT LE LECTEUR DES DÉTAILS CONCERNANT DES FAITS QUOTIDIENS, NON DÉPOURVUS POURTANT D’INTÉRÊT ET QUI SONT LA CONFIRMATION DU BUT RECHERCHÉ QUI ÉTAIT MON UNIQUE ASPIRATION. LES DÉCLARATIONS CI DESSUS SOUS LA FOI DU SERMENT ET JE SUIS EN MESURE D’EN JUSTIFIER  L’AUTHENTICITÉ DEVANT QUI IL APPARTIENDRA 

Union Sportive Musulmane de Marengo ( U.S.M.M)

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Historique

Suite à l’impartialité et la décision de la direction de l’Hôpital Hospice de Marengo de ne pas avoir nommé monsieur Saâdi au poste de chauffeur d’ambulance, qui faisait partie de la composition de l’équipe de l’O.M (Olympique de Marengo), par solidarité ses coéquipiers de confession musulmane, décidèrent de ne pas porter les couleurs ( rouge et blanc ) de leur équipe lors du match Olympique Marengo. – Union Sportive Musulmane de Blida comptant pour l’accession en division d’honneur.
Dans la foulée, Messieurs HALLEL Mustapha, BAGHDALI Mouloud et BELHADJI Mohamed quittèrent définitivement le bureau de l’Olympique de Marengo dont ils étaient membres.
Cet acte discriminatoire de l’administration hospitalière d’alors et du parti pris des dirigeants de l’Olympique de Marengo provoquèrent une réaction légitime des musulmans de Marengo de se « liguer » comme supporters  de la ville des roses et de fêter la victoire des verts et blanc de l’Union Sportive Musulmane de Blida (U.S.M.B) sur le terrain de l’Olympique de Marengo par un score sans appel 3 à 2.
C’est ainsi, de cette victoire les notables de la ville des roses et ceux de Marengo discutèrent sur la pertinence de la création d’un club musulman de football à Marengo et remettront les copies de statut comme modèle de création d’une association sportive.
La première assemblée générale constitutive présidée par monsieur Belhani Djillali a eu lieu au café de monsieur Ali Zeggane sis boulevard de l’est actuellement boulevard Fettaka Ali.
Devant une assistance nombreuse, l’assemblée générale constitutive a élu les membres fondateurs suivant:  
Belhani Djillali, Embarek Sid Ali Brahim, Belhadji Mohamed,  Baghdali Mouloud,  Boudjemal Mohamed, Djidel Abdelkader, Chiboub Ramdane, Djilal Abdelkader, Guerroumi Ahmed, Hallel Mustapha, Hallel Belkacem, Hamadouche Mohamed (le père de Ali ancien joueur et entraîneur,connu sous pseudo Alili) Lakhdari Brahim, Sahoui Mohamed, Saïdi Cherif, Saïdi Yahia, Slimani Slimane, Sahraoui-Tahar Malek, Zaher Mohamed et Zeggane Ali,  Louhi Boussââd ainsi que d’autres éminentes personnalités qui rejoignirent les membres fondateurs.
L’ensemble des membres adoptèrent à l’unanimité la dénomination et les couleurs du club, c’est ainsi que dans le courant de l’année 1947 fût créée l’ UNION SPORTIVE MUSULMANE de MARENGO par abréviation U.S.M.M  portant les couleurs vert et blanc.  
Les membres fondateurs éliront Président de l’ U.S.M.Marengo monsieur Sid Ali Embarek Brahim comme président, répartiront les tâches et établiront leur plan d’action.
Des questions d’ordres financières et administratives étaient leur priorité, coté constitution d’une équipe ne posait aucun problème du fait  d’un très riche effectif et l’engouement  de talentueux joueurs désireux porter les couleurs vert et blanc était si grand que l’écho fût entendu dans toute la région de l’ouest de la Mitidja.
Si du côté humain et financier l’ U.S.M.M a connu une très forte solidarité,  face aux procédures administrative l’équipe dirigeante a buté sur un point essentiel qu’était la question de domiciliation.
En effet l’Olympique de Marengo ( O.M ) avait toutes les faveurs de l’administration, de la municipalité, des colons et du maire de la ville qui lui ont attribué un bail de location du stade municipal, pour seulement 1 franc symbolique,  d’où la question de domiciliation de l’ U.S.M.Marengo dans ce lieu lui était impossible.
La persévérance de l’équipe dirigeante de l’ U.S.M.Marengo ne sera pas vaine. En effet  monsieur Belhani Djillali, un des notable de la ville de Marengo fût mandaté par l’équipe dirigeante  aux fins de trouver une solution  à ce pointilleux problème qu’est  la domiciliation du club USMM  auprès de l’administration, de la municipalité et  auprès des dirigeants de l’ O.Marengo…..Certes les négociations n’étaient pas facile mais monsieur Belhani Djillali a eu raison dans toutes les démarches entreprises, en mains de maître est revenu avec un accord officiel qui permettait à l’ U.S.M.Marengo et à l’Olympique de Marengo  de jouer et de recevoir les équipes visiteuses alternativement  au stade de Marengo.
Après la création de l’ U.S.M.Marengo l’équipe dirigeante obtiendra une première et grande victoire celle de la domiciliation grâce au génie de monsieur Belhani Djillali….Cette victoire provoquera le déclic de l’Union Sportive Musulmane de Marengo qui marquera les esprits de très très longues années.  Officiellement, le 13 Mars 1956, l’USMMarengo, le MCA et l’USM Blida arrêtent la compétition et mettent ainsi leur menaces à exécution. D’autres clubs musulmans leur emboîtent le pas tels que le NAHD, le RCK, l’USMMC, l’OMSE,  l’ESMA,la JSMA, l’USM Alger, l’ASPA, le Widad R Belcourt. Ils ne reprennent qu’en 1962-1963, soit 7 ans d’arrêt,….
Une modeste contribution Historique concernant la création de notre U.S.M.Marengo  en attendant la réécriture de l’histoire ou un mémoire entre 1947 à 1956 et entre 1962 à 2014
Sahraoui-Tahar Kamel ancien président de la section des supporters de l’U.S.M.M.

OLYMPIQUE DE MARENGO saisons 1924 jusqu’à 1951

 

 

 

 

 

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L’OLYMPIQUE DE MARENGO créé le 21 Novembre 1924 débutait en 3 e Division et enlevait le titre de champion la même année.

Elle accédait en 1929 en 2 e Division et enlevait également le titre de champion de cette division.

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En 1930, l’ O.M , jouait en 1 er Division et arrivait à l’égal des meilleurs clubs, trois années après sa création.

Après un travail persévérant, l’ O.M sortait champion de la 1 er Division et accédait à la division d’honneur, jouant ainsi avec les ténors 1934-1935.

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En 1936-1937 l’ O.M reprenait sa place en 1 er Division après avoir perdu les matchs de barrages face au MOULOUDIA CLUB ALGEROIS .

La saison 1937-1938, voyait à nouveau l’ O.M sortir champion de la première Division et reprendre sa place en Division d’honneur en battant le Groupement Sportif Orléansvillois   ( G.S.O ).

 

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En 1938-1939, l’ O.Marengo faisait parler d’elle en se classant 3 ème en championnat départemental et fournissait plusieurs joueurs pour défendre les couleurs de la ligue d’Alger dans les matchs interligues  tels que GOMEZ, FERRANDINI, BEINEITO frères,  etc..etc..

A l’issue de cette saison, l’O.M redescendait à nouveau en première Division, battue en matchs de barrages par le Groupement Sportif Orléansvillois (G.S.O) .

La guerre survint ainsi que les années creuses où le sport vivait à l’état latent.

Après la « libération de la France » en 1945, un groupe d’anciens joueurs reprenait les destinées du club.

En 1947-1948, l’ O.M sortait 2 ème de son groupe et jouait les barrages contre le R.C.Maison-Carréen (R.C.M.C).

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Pendant la saison 1948-1949, l’ O.Marengo se classait également 2 ème de sa division et disputait à nouveau les matchs de barrages contre le F.C.Blidéen ( Football Club Blida).

En 1949-1950 après une préparation minutieuse, l’ O.M enlevait le titre de champion de 1 er Division sans connaître la défaite, battait en matchs de barrages, par deux fois, le R.C.Maison Carrée et accédait ainsi en  Division d’Honneur.

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En 1950-1951, les matchs de barrages ayant été supprimés et remplacés par la descente automatique, l’ O.M se retrouve en division inférieure.

Elle va faire de son mieux cette saison, encouragée par ses supporters et appuyée par son conseil d’administration renforcé pour reprendre sa place en division d’honneur.

L’ O.M était présidée par M. Hardy Roger le maire à cette époque était Emile Vegler      

NOUVELLES REVELATIONS… Affaire Audin :

NOUVELLES REVELATIONS…

Affaire Audin : les révélations posthumes d’Aussaresses sur un crime d’Etat

Par Nathalie Funes. Un livre à paraître jeudi 9 janvier dévoile les propos tenus par le général Aussaresses avant sa mort, sur la disparition de Maurice Audin en juin 1957.

L’un des derniers mystères de la guerre d’Algérie pourra-t-il être levé ? Saura-t-on enfin comment est mort Maurice Audin, professeur de mathématiques à l’Université d’Alger, arrêté et torturé par les parachutistes en juin 1957 et que personne n’a plus jamais revu vivant ? Dans les colonnes du « Nouvel Observateur », en mars 2012 (1), nous avions apporté des éléments nouveaux sur la disparition de ce jeune homme, âgé de 25 ans, père de trois enfants et membre du Parti Communiste Algérien (PCA).

Nous avions en effet publié l’extrait d’un manuscrit du colonel Yves Godard, commandant de la zone Alger-Sahel au moment de la bataille d’Alger, l’une des périodes les plus noires de la guerre d’Algérie, durant laquelle des milliers de militants anticolonialistes – tous algériens à l’exception de Maurice Audin – ont « disparu ».

Dans ce document inédit conservé jusque-là dans les archives de la Hoover Institution, à l’Université Stanford, en Californie, et probablement écrit au début des années 70, le colonel Godard, décédé en 1975, indiquait que Maurice Audin ne s’était pas évadé, comme le veut la thèse officielle, mais avait été exécuté par un officier de l’armée française. Il donnait également le nom de l' »agent d’exécution », pour reprendre ses termes : le sous-lieutenant Gérard Garcet, un ancien résistant, diplômé de Saint-Cyr, qui avait travaillé aux côtés du général Jacques Massu, le « chef de la police » à Alger, avant de rejoindre le groupe du commandant Paul Aussaresses, chargé des renseignements.

UNE GRANDE DAME  » EVELINE SAFIR LAVALETTE  » COMBATTANTE DE L’INDEPENDANCE DE l’ALGERIE

DÉCÈS VENDREDI LE 25 AVRIL D’UNE GRANDE DAME  » ÉVELINE SAFIR LAVALETTE  » COMBATTANTE DE L’INDÉPENDANCE DE l’Algérie ….PAIX A SON ÂME !

Eveline Safir Lavalette, moudjahida d’origine européenne, ayant fait le choix, très tôt, et évident pour elle, d’être Algérienne au point d’en payer le prix fort (arrêtée en novembre 1956, elle est condamnée à trois ans de prison, torturée, abusivement internée dans un service psychiatrique), aura attendu l’âge de 86 ans pour enfin publier ces textes que l’on reçoit comme un don.

Dans un registre tout à fait inédit, entre poème en prose, réminiscence, évocation, chronique des petits riens, son écriture reste inclassable. Ici, nul désir de rédiger des mémoires, de verser dans l’autobiographie, nul souci d’exhaustivité – tout est dans l’ellipse, le rythme, le mot juste et sobre. Le lecteur devra se « contenter » de bribes, de fragments, de sensations : l’enfance à Rouiba, le militantisme scout, l’engagement auprès du FLN ensuite, la prison – souvenirs glaçants, lumineux pourtant, aériens presque –, l’indépendance, Benchicao dans les années quatre-vingt-dix, l’exil, le retour à Médéa enfin.

L’auteur tisse les mots de ses textes comme elle a tissé la tissure de sa vie, avec courage, gravité, intégrité, mais aussi un humour, une fraîcheur et une fantaisie qui sont sa marque.
On en vient alors à se poser la question : cette forme qu’Eveline Safir a choisie – cette vision poétique, cet « ailleurs » –, ne serait-elle pas la forme la plus éloquente, la plus puissante, et peut-être la plus « vraie », du témoignage ?

Eveline Lavalette, issue d’une famille vivant en Algérie depuis trois générations, naît à Alger en 1927. Dès 1955, elle s’engage pour l’indépendance de l’Algérie, côtoyant Ben Khedda, Abane, Krim Belkacem, Ben M’hidi, et d’autres. Ses activités au sein du FLN sont nombreuses : liaisons avec remises de documents, hébergement de moudjahidine­, transport de matériel, impression de tracts… Arrêtée le 23 novembre 1956 par la police française, torturée, elle est libérée en 1959. À l’indépendance, en 1962, élue à l’Assemblée Constituante, puis à la première Assemblée nationale en 1964, elle participe à l’étude et la mise en place du système éducatif. En 1967, elle épouse le journaliste Abdelkader Safir et mène, jusqu’à sa retraite, une carrière au ministère du Travail.

DECES VENDREDI LE 25 AVRIL D'UNE GRANDE DAME  " EVELINE SAFIR LAVALETTE " COMBATTANTE DE L'INDEPENDANCE DE l'ALGERIE ....PAIX A SON ÂME !

Eveline Safir Lavalette, moudjahida d’origine européenne, ayant fait le choix, très tôt, et évident pour elle, d’être Algérienne au point d’en payer le prix fort (arrêtée en novembre 1956, elle est condamnée à trois ans de prison, torturée, abusivement internée dans un service psychiatrique), aura attendu l’âge de 86 ans pour enfin publier ces textes que l’on reçoit comme un don. 

Dans un registre tout à fait inédit, entre poème en prose, réminiscence, évocation, chronique des petits riens, son écriture reste inclassable. Ici, nul désir de rédiger des mémoires, de verser dans l’autobiographie, nul souci d’exhaustivité – tout est dans l’ellipse, le rythme, le mot juste et sobre. Le lecteur devra se « contenter » de bribes, de fragments, de sensations : l’enfance à Rouiba, le militantisme scout, l’engagement auprès du FLN ensuite, la prison – souvenirs glaçants, lumineux pourtant, aériens presque –, l’indépendance, Benchicao dans les années quatre-vingt-dix, l’exil, le retour à Médéa enfin.

L’auteur tisse les mots de ses textes comme elle a tissé la tissure de sa vie, avec courage, gravité, intégrité, mais aussi un humour, une fraîcheur et une fantaisie qui sont sa marque.
On en vient alors à se poser la question : cette forme qu’Eveline Safir a choisie – cette vision poétique, cet « ailleurs » –, ne serait-elle pas la forme la plus éloquente, la plus puissante, et peut-être la plus « vraie », du témoignage ?

Eveline Lavalette, issue d’une famille vivant en Algérie depuis trois générations, naît à Alger en 1927. Dès 1955, elle s’engage pour l’indépendance de l’Algérie, côtoyant Ben Khedda, Abane, Krim Belkacem, Ben M’hidi, et d’autres. Ses activités au sein du FLN sont nombreuses : liaisons avec remises de documents, hébergement de moudjahidine­, transport de matériel, impression de tracts… Arrêtée le 23 novembre 1956 par la police française, torturée, elle est libérée en 1959. À l’indépendance, en 1962, élue à l’Assemblée Constituante, puis à la première Assemblée nationale en 1964, elle participe à l’étude et la mise en place du système éducatif. En 1967, elle épouse le journaliste Abdelkader Safir et mène, jusqu’à sa retraite, une carrière au ministère du Travail.

Le Saviez-vous ? ……Infos utiles !!!!

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COMMENT SURVIVRE A UNE CRISE CARDIAQUE LORSQU’ON EST TOUT SEUL ?

Disons qu’il est 18:15 et vous rentrez chez vous (seul bien sûr)
… après une journée de travail particulièrement difficile. Vous êtes vraiment fatigué, énervé et frustré. Vous commencez soudainement à ressentir une forte douleur à la poitrine qui s’étend à votre bras et vers votre mâchoire. Vous êtes à peu près à 8 km de l’hôpital le plus proche. Malheureusement vous ne savez pas si vous arriverez à aller jusque là. On vous a formé aux massages cardiaques, mais le formateur ne vous a bien sûr pas montré comment le faire sur soi-même…!!

…ALORS COMMENT SURVIVRE A UNE CRISE CARDIAQUE QUAND ON EST SEUL..

Comme beaucoup de personnes sont seules lorsqu’elles souffrent de crise cardiaque, sans aide, la personne dont le coeur bat de manière anormale et qui commence à s’évanouir, a seulement 10 secondes avant de perdre conscience.
Malgré tout, ces victimes peuvent se secourir elles-même en toussant de manière répétée et très vigoureusement. Une profonde inspiration doit être prise avant chaque toux, et la toux doit être intense et longue, comme si vous faisiez un gros crachat depuis le bas de votre poitrine.

Une inspiration et une toux doivent être alternée toutes les 2 secondes sans arrêt jusqu’à ce que de l’aide arrive, ou jusqu’à ce que l’on sent que le cœur a repris un battement normal. De profondes inspirations apportent l’oxygène aux poumons et les mouvements du toussotement masse le cœur et continue à faire circuler le sang.
Les mouvements de toussotement sur le cœur contribue aussi à ce qu’il reprenne un rythme normal. De cette manière, les victimes de crises cardiaques peuvent arriver à l’hôpital.

Plutôt que de partager des blagues comme on le fait tout le temps … contribuons à partager cette information qui peut sauver la vie de beaucoup de personnes!!