Filed under: sport | Tagged: USMM HADJOUT, USMMARENGO | 3 Comments »
NON NON L’U.S.M.M N’EST PAS MORTE !!!!
Hadjout: Le sport en détresse
Hadjout: Le sport en détresse
SOS ! La sonnette d’alarme est tirée. Y a-t-il quelqu’un avec des solutions aux problèmes pour sauver le sport en général et les trois disciplines reines à l’ex Marengo, en l’occurrence le football, le handball et le basket-ball ? Tous les amoureux de la balle ronde à Hadjout se souviennent de ces majestueux clubs qui ont fait la fierté de la ville et donné du bonheur à des milliers de Hadjoutis tous âges confondus, surtout en Football et en basket.
En football, l’équipe chère aux Hadjoutis patauge depuis plusieurs saisons dans les profondeurs du classement général sans que personne se soucie de sa situation.Tous les responsables dirigeants qui se sont succédé ont une part de responsabilité avec leur mauvaise gestion ; en effet, ces gens n’avaient aucune relation avec le football et sont à l’origine de ce désastre que vit le club depuis bien longtemps. Les supporters Hadjoutis, du moins ce qu’il en reste, pointent un doigt accusateur vers les hommes de l’ombre qui bloquent l »évolution du club phare de la wilaya, malgré plusieurs interventions des supporters auprès des autorités locales et instances sportives pour trouver une issue favorable.
Et, en dépit des différentes réunions provoquées en extrême urgence, la situation du sport en général et du football en particulier reste toujours stationnaire et elle perdure davantage et le club risque de s’effondrer et disparaître de la scène footballistique nationale.
USMM Hadjout une association sportive, dans un passé récent, était le fleuron et la fierté de la ville se retrouve aujourd’hui réduite à une formation qui joue juste pour sa survie.
Dans un passé récent, Messaoudi, les frères Maroc (Larbi et M’hamed), Bouanem, Doudou, Nafi, Sadouki, Aïdat, Djedaïmi, les frères Arbouche, Boudjella, Guessaf et la liste est encore longue. Ces joueurs ont mené la balle à un niveau national très appréciable. Le club était une véritable école, où ont grandi nombre de joueurs Hadjoutis. Désormais, l’USMM section Football vit une crise sans précédent. Aujourd’hui, le club est délaissé. Ses enfants qui l’aiment vraiment sont à son chevet, ce sont des techniciens de formation qui le gèrent avec le peu de moyens qu’ils ont, car les subventions allouées par la wilaya et l’APC sont en deçà des besoins du club, et devant cet état de fait le club joue sa survie.
Il faut avouer que c’est grâce à la bonne volonté de quelques encadreurs que le club arrive difficilement à survivre. Malgré les problèmes financiers, les encadreurs n’ont pas lâché prise, travaillant avec sérieux et dévouement pour le bien des jeunes afin qu’ils puissent pratiquer leur sport favori, confie un des anciens dirigeants du club en question.
Mais cette situation du provisoire qui dure perdure. La balle est aujourd’hui dans le camp de ceux qui veulent sauver le devenir du sport à Hadjout, et ce, pour le bien de la jeunesse et le mouvement sportif local et national. Le SOS est lancé, en attendant que chacun y mette du sien. Ne dit-on pas à juste titre, au demeurant, que l’union fait la force. Alors… à bon entendeur, salut !
Filed under: sport | Tagged: U.S.M.Marengo, USMM HADJOUT | 1 Comment »
Situation actuelle de l’ Union Sportive Machââl Madinat Hadjout ( U.S.M.M Hadjout )
Une forte mobilisation de supporters de l’ U.S.M.M Hadjout a eu lieu ce dimanche 11 janvier 2014, bloquant les accès du centre ville et le siège de la daïra de Hadjout.
Ils étaient nombreux dans cette marche pacifique qui les a conduit du bout de l’avenue du 1er novembre vers le lieu symbole de la ville le monument des martyrs.
Dans un premier temps les nombreuses personnes présentes ont interpellé le président de l’assemblée populaire et communale en plein cœur de la ville, ce dernier a réaffirmé avoir invité un ancien responsable du club ainsi que l’actuel président, selon lui non démissionnaire aux fins de leur donné des garanties et si ces derniers souhaiteraient un engagement écrit il le ferait disait le maire, qui ajouta avoir lancé des invitations aux entreprises présentes dans la localité pour concourir à l’aide financière du club.
En effet les joueurs réclament leur salaire, depuis leur dernière rencontre face à l’A.B.Mérouana en guise de mécontentement aucun entrainement n’a eu lieu. La trêve hivernale est donc bienvenue pour remettre éventuellement de l’ordre dans la maison du club phare de la wilaya de Tipasa. Effectivement l’ U.S.M.M Hadjout actuellement à deux points de la lanterne rouge recevra dès la reprise de la phase retour le club du M.C. Saida qui ne se présente pas sous les meilleurs auspices, ce dernier n’est qu’à quatre points du leader, jouant donc l’accession.
L’inquiétude des supporters étant grandissante, en l’absence d’un interlocuteur dûment mandaté tentent de trouver une solution urgente afin de sauver le club qui risque tout bonnement la relégation. C’est ainsi qu’une délégation composée dans le tas fût reçu par le chef de la daïra qui a écouté attentivement les doléances des personnes présentes à cette entrevue.
L’administration de Sawt Hadjout Marengo a suivi avec attention la situation générale de l’ Union Sportive Mechââl Madinet Hadjout, avec tout le respect qui est dû à la famille sportive de la ville, des nombreux fans et supporters des verts et blancs le terme sacré de l’ UNION est bafoué, cette union sportive jadis la fierté de notre ville, aimé et respecté par tout ailleurs ne sait ou ne trouve plus de solutions qui réunira autour d’une assemblée générale ordinaire ou comme c’est le cas aujourd’hui une assemblée générale extraordinaire aux fins de laver le linge « sale » en famille et de dégager les membres actifs de bureaux, des diverses commissions et staffs de formations et de reprendre en main les destinée du club et les nombreux jeunes pour leur suivi et formation etc…..Il est impératif de se poser la question comment se fait la gestion du club alors que les textes et réglementations en vigueurs existent……Si l’ USMM Hadjout est un club professionnel son administration à travers son statut et ses actes a ses droits, devoirs et ses obligations……Si l’ USMM Hadjout est un Club Sportif Amateur son souverain à la base est l’assemblée générale, qui donne mandats aux membres de bureaux de chaque sections, commissions et son conseil d’administration pour gérer au mieux et en bon père de famille les affaires du club….
Les deniers de l’état sont un droit et contrôlés par les services concernés, les équipements et infrastructures en fonctions besoins sont programmés par l »état pour cela il faudrait des gens honnêtes intègres et du point de vue sensibilisation pour le fair-play pour cela il faudrait aussi un comité de supporters actif et convaincant…..
Sans cela ni le président de l’A.P.C, ni le chef de Daïra, ni le Wali, ni le représentant de la DJS, ni le ministre de la jeunesse et des sports, ni la ligue et ni la fédération ne viendront géré le club à la place de ses enfants…..Les autorités citées doivent avoir en face des interlocuteurs crédibles et mandaté par une assemblée générale…..Franchement la démarche entreprise n’est pas convaincante….D’ici là espérons que la famille sportive trouvera des solutions pour toutes les sections ou disciplines sportives et à travers celles ci les membres actifs du CSA/USMM Hadjout…..
L’ESPOIR EXISTE QU’AVEC UN SURSAUT D’ORGUEIL ….BONNE CHANCE A L’ U.S.M.M !!!!!
Filed under: sport | Tagged: FOOTBALL, hadjout, USMM HADJOUT, USMMARENGO | Leave a comment »
Dernier hommage à une Algérienne Que Fanny repose en paix dans cette terre pour laquelle elle avait une passion sans borne
Filed under: Devoir de mémoire | Tagged: Fanny Colonna, Moudjahida | Leave a comment »
Mémoires de BENCHARIF Mostéfa premier maire musulman de HADJOUT
BENCHARIF Mostefa né à Miliana le 12 novembre 1913
Issu d’une famille de fonctionnaires de la magistrature Musulmane, ayant exercé depuis et bien avant la conquête de l’Algérie par la France. Élevé dans les principes Arabo-Islamiques,…Dans le mépris de l’occupant, qui a toujours été considéré comme un « intrus ». Pas de politiciens dans la famille, mais le sentiment nationaliste n’a jamais fait défaut. Sans avoir milité dans aucun parti politique, monsieur Bencharif était connu dans son entourage pour ses sentiments de nationaliste Arabe. Il a exercé les fonctions de justice de 1941 à 1963, pendant toute sa carrière il n’avait cessé de protéger les siens, et d’assouplir à leur égard bien souvent les rigueurs de la loi. Les regrets et les bons souvenirs qu’il a laissé, partout sur son passage, malgré ses fonctions « ingrates », en sont les meilleurs témoignages de son amour pour ses frères et de son humanisme. En 1942, pendant la guerre France-Allemagne il est mobilisé à Blida en qualité d’aspirant réserviste. Quelques jours après sa mobilisation il est taxé « d’Anti- Français » par son capitaine Français et le colonel, parce qu’il avait nettement la défense des soldats Musulmans persécutés à tort et des sous officiers Musulmans également qui ne bénéficiaient pas des mêmes avantages que leurs « collègues Français ». Il fût dirigé dans une unité en formation pour le front, surveillé de prêt, et objet de diverses enquêtes d’officiers du 2ème Bureau Français. Envoyé sur le T.O il fut pendant toute la durée de la guerre isolé avec un faible détachement de tirailleurs Algériens dans les forêts et en dernier désarmé à l’époque des événements de Constantine (été 1945) par des chefs Français. Son attitude courant la période de la révolution (1954 à 1957 a pris conscience de l’importance du mouvement révolutionnaire armé aussitôt est né en lui le sentiment et l’espoir de voir libérer son pays. Voyant tous ses amis arrêtés, pris dans les camps d’internements ou en prison, il était saisi par un complexe d’infériorité en restant inactif, faute d’avoir été intéressé ou contacté par l’organisation clandestine. – Vu l’influence qu’il avait auprès de la population, il n’a jamais caché sa sympathie pour cette révolution et l’espoir de sa réussite. Il a donné tant qu’il a pu son soutien moral et matériel aux familles touchées par la répression dont les membres avaient rejoint le maquis. Sollicité par les autorités lors des démissions des élus Algériens, il a refusé de faire partie des délégations spéciales formées à l’époque par des Francais et il a refusé également de faire partie de la commission départementale (conseil général de l’époque), malgré les insistances et les menaces du maire de l’époque. IL A TOUJOURS RESPECTÉ LES CONSIGNES DU F.L.N concernant les grèves, fermetures des magasins etc…a cessé de participer aux cérémonies officielles auxquelles il était invité en tant que fonctionnaire de la ville et ce pour obéir aux consigne du F.L.N. CES DIFFÉRENTES POSITIONS ont entraîné la réaction des colonialistes à savoir 1- il a été désigné en tête d’une liste d’otages (10) qui devaient être exécutés sur place publique en répression de l’assassinat d’un garde champêtre Français en fin 1956 2- a reçu une lettre de la main-rouge (organisation terroriste colonialiste de l’époque) le condamnant à mort. 3- a évité plusieurs embuscades de ses ennemis qui avaient même gagné le concours des chefs militaires dont certains lui montraient une hostilité très marquée. 4- A chacun de ses déplacements il était arrêté par les barrages colonialistes et sa voiture fouillée ainsi que sa serviette porte-documents de 1958 à 1962 –A refusé de participer aux comités de Salut Public, malgré l’intervention menaçante et armée de deux activistes notoires, venus le relancer à son domicile le matin du 13 mai 1958. –A refusé de se porter candidat à la députation du mois de septembre 1958, malgré les insistances et les démarches de ses ennemis qui le menaçaient d’enlèvement etc… EN MAI 1959 : arrive les élections municipales, avec collège unique et majorité de conseillers Algériens sur les autres…. Il est également harcelé par les colonialistes pour figurer sur leur liste en qualité de 1er adjoint et même de maire. Les mêmes menaces lui sont adressées en cas de refus. C’EST A CE MOMENT, mesurant les dangers dans lesquels il se débattait tout seul depuis 4 années, la résolution de « PRENDRE LE TAUREAU PAR LES CORNES » le prit, et c’est ainsi qu’avec l’aide de quelques amis se trouvant a peu prêt dans la même situation, il avait décidé de faire une liste pour s’opposer à celle des colons. Mr BENCHARIF a donc pu monter cette liste, non sans peine car les candidats Français manquaient, et il n’a pu les avoir qu’après maintes astuces et pressions… La liste de Mr BENCHARIF s’était donc présentée à ces élections avec une étiquette et un programme très audacieux à l’époque puisqu’elle était à progrès social et anti-colonialiste . Le jour des élections à Marengo a marqué LA PREMIÈRE DÉFAITE DES COLONS ET DES COLONIALISTES en Algérie depuis l’occupation de la France. Toute la population Musulmane , comme un SEUL HOMME, s’était dressé hommes, femmes et enfants pour barrer la route à la liste colonialiste et les résultats ont été écrasants à quelques voix nous avons eu toutes les voix de votants et votantes musulmans. Le soir tassés dans les camions auréolés de rubans en couleurs, les enfants de la ville par centaines parcouraient les rues de la ville, même la principale, aux cris de vive Ben Bella, vive Bencharif….. L’énervement et l’affolement de la population Européenne étaient à leur comble et n’avait d’égal que l’enthousiasme bruyant des Musulmans qui s’était poursuivi toute la soirée et même la nuit jusqu’au matin du lundi. NOTRE RÔLE DE MAIRE : Notre première action a été d’interdire à l’armée Française d’exposer sur la place publique le corps des chouhadas capturés et assassinés par eux. Méthode courante dans la région et que nous avons supprimé. De monter une cabale, et de désorganiser le service de renseignement de la police locale, formé d’éléments européens, élevés dans le milieu musulman, dont ils connaissaient les plus petits secrets et qui terrorisaient la population. Dans leur temps une cellule à peine formée qu’elle était dévoilée et arrêtée. Toute notre action fut axée sur la réussite de la révolution: Secours et subsides à toutes les familles nécessiteuses et PARTICULIÈREMENT à celles dont le ou les membres sont au maquis, en prison enfin au service de la révolution ou tué par les forces de l’ordre colonialiste. Assurer l’embauche à tous les frères sortis des camps ou de prisons…Et leur faciliter la reprise du « service auprès de la révolution »….Marengo est devenu un refuge sûr aux djounouds et à l’organisation civile clandestine…. HÉBERGER CHEZ MOI LES DJOUNOUDS DE PASSAGE à MARENGO ainsi que je peux citer certains parmi eux: les frères BENMESSAOUD- SI REDOUANE (tué à Cherchell au cours d’un combat) SI MENOUAR- SI MOHA BAZAR- SI MOHA SEGHIR-….. Il m’est arrivé d’avoir dans ma villa, dans une chambre les officiers de l’ A.L.N et dans une autre les officiers Français et ce en même temps… CONTACT; avec le capitaine SI MOHAMED SAIDI et plusieurs djounouds, que j’allais rencontrer chez des voisins, pour différentes causes, liaison, renseignements… AIDER LA RÉVOLUTION par des versements de cotisations et par contribution assez importantes. PROTÉGER LA POPULATION CONTRE LES ABUS DE POUVOIR DES FORCES DE L’ORDRE. FAIT LIBÉRER PRESQUE TOUS LES FRÈRES QUI ÉTAIENT DANS LES CAMPS D’INTERNEMENTS OU DÉTENU EN PRISON …. FAVORISER TOUTES LES MANIFESTATIONS PRESCRITES PAR LE F.L.N (MOUVEMENT DE MASSE DE LA POPULATION) SOUS MA PROTECTION et CELLE DE CERTAINS DE MES CONSEILLERS … A l’occasion de mes voyages en France, j’ai servi de liaison avec les frères de la fédération de France Messieurs FARES et autres….Si Omer etc… En tant que Président du conseil général d’Alger je ne devais pas me présenter au Conseil général car avec mes fonctions de maire je pensais que j’avais suffisamment d’occupation et me plaisais à vivre au milieu de ma population qui me marquait beaucoup de sympathie, et au milieu de laquelle je me sentais à l’aise. Cependant les colons qui n’avaient pas digéré leur défaite au conseil municipal, se sont ligués pour planter entre moi et l’administration, un adversaire « sérieux », afin de paralyser mon action. Leur choix s’était porté à nouveau sur LARADJI député de l’Algérie Française, qui avait donné les preuves de son attachement, donc les colonialistes ayant formé une liste avec LARADJI et le docteur BUERLE président du C.S.P activiste notoire …une inquiétude était née dans notre milieu, mes amis n’ayant trouvé personne pour barrer la route à ces défaitistes, je me suis vu obligé de me sacrifier. La lutte a été dure, malgré les mauvais traitements, les bousculades et la force nous sommes arrivés à remporter la victoire aux élections, car nous avions la confiance du peuple, qui a su déjouer toutes les manœuvres de ses ennemis. MON ACTION ; détruire le groupe LAGAILLARDISTE qui était assez important dans l’assemblée, en formant une majorité avec beaucoup de peine. Paralyser son action néfaste…Depuis 1960 je n’ai cessé de proclamer et de faire adopter par l’assemblée des motions incitant le gouvernement Français à négocier avec le F.L.N, J’étais d’ailleurs le premier élu Algérien Musulman à prendre cette position en publique et dès le début de mon élection… Ci-joint une pétition écrite qui avait été adressée au gouvernement par mes soins.En janvier 1960 les colons aidés par la territoriale savaient tout au moment du puntch d’Alger (Avril 1961) 3 de mes collègues qui avaient signé cette motion furent tués par l’O.A.S Personnellement j’ai été recherché tant à Alger, qu’à Marengo je ne dois mon salut qu’à mes manœuvres de dissipation. Après ce puntch j’ai fait prendre de graves décisions par le préfet contre les activistes notamment, j’ai fait suspendre 27 conseillés généraux et 9 maires colonialistes j’ai fait interner à Berrouaghia 6 activistes de Marengo dont une femme…A ce sujet j’ai fait l’objet d’une condamnation à mort par l’ O.A.S qui a été diffusée par tracts dans tout Alger. Une lettre anonyme postée de Blida m’avait fait connaître que les 2 jeunes RIPOLL quincaillers à Blida activiste notoires avait été désigné par le comité de l’OAS pour m’exécuter …Je me suis alors réfugié en France ou les tueurs de l’O.A.S m’ont poursuivi jusqu’à mon Hotel à Vichy…Je ne dois mon salut qu’à mes différents et multiples déplacements. POLITIQUEMENT: mon action ne tendait qu’à un seul but CELUI DE LA RÉUSSITE DE LA LUTTE POUR L’INDÉPENDANCE….Au cours des congrés, réunions, conférences, commissions d’élus en France ou en Algérie. Mes déclarations n’étaient qu’attaques contre les colonisateurs et renvoi de toutes discussions concernant le statut futur de l’Algérie aux négociations avec les politiciens qualifiés, c’est à dire avec les responsables du mouvement libérateur. J’étais de ceux qui ont saboté la fédération des maires de l’Algérie provoquant la dissolution de celle d’Alger, dirigée par les activistes pros OAS, je crois également avoir contribué à saboter la 3 ème Force que la France voulait créer. Contacté par Mr JOXE à ce sujet , venu spécialement à Alger j’ai rejeté brutalement toutes ses propositions ne voulant pas être un traître à mes frères qui se battent pour l’indépendance…Mon attitude vigilante et intégralement acquise à la liberation du pays, m’avait attiré beaucoup d’ennemis. Condamné à mort par l’O.A.S suspecté par les forces de l’ordre poursuivi jusqu’à mon domicilepar les éléments de la légion déserteurs, je n’ai échappé à leurs coups que grâce à la protection de mes amis et de la presque totalité de la population de Marengo qui veillait même à mon insu sur ma sécurité. 2 de mes vices Présidents Français et mon secrétaire Musulman du conseil général, signataires de la motion tendant à inviter le gouvernement à négocier avec le FLN émise le 09 janvier 1961 furent assassinés par l’ O.A.S . Rentré de France après le cessez le feu j’ai collaboré avec les éléments de l’ALN pour l’installation des diverses organisations locales, préparé les élections pour l’autodétermination des Algérien et continué la gestion communale jusqu’à fin juillet époque à laquelle fatigué physiquement, surmené moralement j’avais sollicité ma relève des fonctions de Maire à Mr le S/Préfet de Blida…Requête suivie d’effet 2 ou 3 jours après. CE QUI PRÉCÈDE REPRÉSENTE UNE PARTIE DE MES ACTIVITÉS EN FAVEUR DE LA RÉVOLUTION DISPENSANT LE LECTEUR DES DÉTAILS CONCERNANT DES FAITS QUOTIDIENS, NON DÉPOURVUS POURTANT D’INTÉRÊT ET QUI SONT LA CONFIRMATION DU BUT RECHERCHÉ QUI ÉTAIT MON UNIQUE ASPIRATION. LES DÉCLARATIONS CI DESSUS SOUS LA FOI DU SERMENT ET JE SUIS EN MESURE D’EN JUSTIFIER L’AUTHENTICITÉ DEVANT QUI IL APPARTIENDRA
Filed under: Devoir de mémoire | Tagged: Affaire BENCHARIF MOSTEFA, EX MARENGO, hadjout, MAIRE DE MARENGO/HADJOUT | 12 Comments »
Union Sportive Musulmane de Marengo ( U.S.M.M)
Historique
Filed under: sport | Tagged: USMM HADJOUT, USMMARENGO | 2 Comments »
OLYMPIQUE DE MARENGO saisons 1924 jusqu’à 1951
L’OLYMPIQUE DE MARENGO créé le 21 Novembre 1924 débutait en 3 e Division et enlevait le titre de champion la même année.
Elle accédait en 1929 en 2 e Division et enlevait également le titre de champion de cette division.
En 1930, l’ O.M , jouait en 1 er Division et arrivait à l’égal des meilleurs clubs, trois années après sa création.
Après un travail persévérant, l’ O.M sortait champion de la 1 er Division et accédait à la division d’honneur, jouant ainsi avec les ténors 1934-1935.
En 1936-1937 l’ O.M reprenait sa place en 1 er Division après avoir perdu les matchs de barrages face au MOULOUDIA CLUB ALGEROIS .
La saison 1937-1938, voyait à nouveau l’ O.M sortir champion de la première Division et reprendre sa place en Division d’honneur en battant le Groupement Sportif Orléansvillois ( G.S.O ).
En 1938-1939, l’ O.Marengo faisait parler d’elle en se classant 3 ème en championnat départemental et fournissait plusieurs joueurs pour défendre les couleurs de la ligue d’Alger dans les matchs interligues tels que GOMEZ, FERRANDINI, BEINEITO frères, etc..etc..
A l’issue de cette saison, l’O.M redescendait à nouveau en première Division, battue en matchs de barrages par le Groupement Sportif Orléansvillois (G.S.O) .
La guerre survint ainsi que les années creuses où le sport vivait à l’état latent.
Après la « libération de la France » en 1945, un groupe d’anciens joueurs reprenait les destinées du club.
En 1947-1948, l’ O.M sortait 2 ème de son groupe et jouait les barrages contre le R.C.Maison-Carréen (R.C.M.C).
Pendant la saison 1948-1949, l’ O.Marengo se classait également 2 ème de sa division et disputait à nouveau les matchs de barrages contre le F.C.Blidéen ( Football Club Blida).
En 1949-1950 après une préparation minutieuse, l’ O.M enlevait le titre de champion de 1 er Division sans connaître la défaite, battait en matchs de barrages, par deux fois, le R.C.Maison Carrée et accédait ainsi en Division d’Honneur.
En 1950-1951, les matchs de barrages ayant été supprimés et remplacés par la descente automatique, l’ O.M se retrouve en division inférieure.
Elle va faire de son mieux cette saison, encouragée par ses supporters et appuyée par son conseil d’administration renforcé pour reprendre sa place en division d’honneur.
L’ O.M était présidée par M. Hardy Roger le maire à cette époque était Emile Vegler
Filed under: sport | Tagged: hadjout, Marengo, O.Marengo, U.S.M.Marengo, USMM HADJOUT | 5 Comments »
NOUVELLES REVELATIONS… Affaire Audin :
NOUVELLES REVELATIONS…
Affaire Audin : les révélations posthumes d’Aussaresses sur un crime d’Etat
Par Nathalie Funes. Un livre à paraître jeudi 9 janvier dévoile les propos tenus par le général Aussaresses avant sa mort, sur la disparition de Maurice Audin en juin 1957.
L’un des derniers mystères de la guerre d’Algérie pourra-t-il être levé ? Saura-t-on enfin comment est mort Maurice Audin, professeur de mathématiques à l’Université d’Alger, arrêté et torturé par les parachutistes en juin 1957 et que personne n’a plus jamais revu vivant ? Dans les colonnes du « Nouvel Observateur », en mars 2012 (1), nous avions apporté des éléments nouveaux sur la disparition de ce jeune homme, âgé de 25 ans, père de trois enfants et membre du Parti Communiste Algérien (PCA).
Nous avions en effet publié l’extrait d’un manuscrit du colonel Yves Godard, commandant de la zone Alger-Sahel au moment de la bataille d’Alger, l’une des périodes les plus noires de la guerre d’Algérie, durant laquelle des milliers de militants anticolonialistes – tous algériens à l’exception de Maurice Audin – ont « disparu ».
Dans ce document inédit conservé jusque-là dans les archives de la Hoover Institution, à l’Université Stanford, en Californie, et probablement écrit au début des années 70, le colonel Godard, décédé en 1975, indiquait que Maurice Audin ne s’était pas évadé, comme le veut la thèse officielle, mais avait été exécuté par un officier de l’armée française. Il donnait également le nom de l' »agent d’exécution », pour reprendre ses termes : le sous-lieutenant Gérard Garcet, un ancien résistant, diplômé de Saint-Cyr, qui avait travaillé aux côtés du général Jacques Massu, le « chef de la police » à Alger, avant de rejoindre le groupe du commandant Paul Aussaresses, chargé des renseignements.
Filed under: Devoir de mémoire | Tagged: Algérie, ALGER, AUDIN, FLN, OAS, PCA | Leave a comment »
UNE GRANDE DAME » EVELINE SAFIR LAVALETTE » COMBATTANTE DE L’INDEPENDANCE DE l’ALGERIE
DÉCÈS VENDREDI LE 25 AVRIL D’UNE GRANDE DAME » ÉVELINE SAFIR LAVALETTE » COMBATTANTE DE L’INDÉPENDANCE DE l’Algérie ….PAIX A SON ÂME !
Eveline Safir Lavalette, moudjahida d’origine européenne, ayant fait le choix, très tôt, et évident pour elle, d’être Algérienne au point d’en payer le prix fort (arrêtée en novembre 1956, elle est condamnée à trois ans de prison, torturée, abusivement internée dans un service psychiatrique), aura attendu l’âge de 86 ans pour enfin publier ces textes que l’on reçoit comme un don.
Dans un registre tout à fait inédit, entre poème en prose, réminiscence, évocation, chronique des petits riens, son écriture reste inclassable. Ici, nul désir de rédiger des mémoires, de verser dans l’autobiographie, nul souci d’exhaustivité – tout est dans l’ellipse, le rythme, le mot juste et sobre. Le lecteur devra se « contenter » de bribes, de fragments, de sensations : l’enfance à Rouiba, le militantisme scout, l’engagement auprès du FLN ensuite, la prison – souvenirs glaçants, lumineux pourtant, aériens presque –, l’indépendance, Benchicao dans les années quatre-vingt-dix, l’exil, le retour à Médéa enfin.
L’auteur tisse les mots de ses textes comme elle a tissé la tissure de sa vie, avec courage, gravité, intégrité, mais aussi un humour, une fraîcheur et une fantaisie qui sont sa marque.
On en vient alors à se poser la question : cette forme qu’Eveline Safir a choisie – cette vision poétique, cet « ailleurs » –, ne serait-elle pas la forme la plus éloquente, la plus puissante, et peut-être la plus « vraie », du témoignage ?
Eveline Lavalette, issue d’une famille vivant en Algérie depuis trois générations, naît à Alger en 1927. Dès 1955, elle s’engage pour l’indépendance de l’Algérie, côtoyant Ben Khedda, Abane, Krim Belkacem, Ben M’hidi, et d’autres. Ses activités au sein du FLN sont nombreuses : liaisons avec remises de documents, hébergement de moudjahidine, transport de matériel, impression de tracts… Arrêtée le 23 novembre 1956 par la police française, torturée, elle est libérée en 1959. À l’indépendance, en 1962, élue à l’Assemblée Constituante, puis à la première Assemblée nationale en 1964, elle participe à l’étude et la mise en place du système éducatif. En 1967, elle épouse le journaliste Abdelkader Safir et mène, jusqu’à sa retraite, une carrière au ministère du Travail.
Filed under: Devoir de mémoire | Tagged: Algérie | Leave a comment »
Le Saviez-vous ? ……Infos utiles !!!!
COMMENT SURVIVRE A UNE CRISE CARDIAQUE LORSQU’ON EST TOUT SEUL ?
Disons qu’il est 18:15 et vous rentrez chez vous (seul bien sûr)
… après une journée de travail particulièrement difficile. Vous êtes vraiment fatigué, énervé et frustré. Vous commencez soudainement à ressentir une forte douleur à la poitrine qui s’étend à votre bras et vers votre mâchoire. Vous êtes à peu près à 8 km de l’hôpital le plus proche. Malheureusement vous ne savez pas si vous arriverez à aller jusque là. On vous a formé aux massages cardiaques, mais le formateur ne vous a bien sûr pas montré comment le faire sur soi-même…!!
…ALORS COMMENT SURVIVRE A UNE CRISE CARDIAQUE QUAND ON EST SEUL..
Comme beaucoup de personnes sont seules lorsqu’elles souffrent de crise cardiaque, sans aide, la personne dont le coeur bat de manière anormale et qui commence à s’évanouir, a seulement 10 secondes avant de perdre conscience.
Malgré tout, ces victimes peuvent se secourir elles-même en toussant de manière répétée et très vigoureusement. Une profonde inspiration doit être prise avant chaque toux, et la toux doit être intense et longue, comme si vous faisiez un gros crachat depuis le bas de votre poitrine.
Une inspiration et une toux doivent être alternée toutes les 2 secondes sans arrêt jusqu’à ce que de l’aide arrive, ou jusqu’à ce que l’on sent que le cœur a repris un battement normal. De profondes inspirations apportent l’oxygène aux poumons et les mouvements du toussotement masse le cœur et continue à faire circuler le sang.
Les mouvements de toussotement sur le cœur contribue aussi à ce qu’il reprenne un rythme normal. De cette manière, les victimes de crises cardiaques peuvent arriver à l’hôpital.
Plutôt que de partager des blagues comme on le fait tout le temps … contribuons à partager cette information qui peut sauver la vie de beaucoup de personnes!!
Filed under: Santé | Tagged: cardio, hadjout, Santé | 3 Comments »